29 octobre 2007

Dur, dur

Près de deux mois depuis la dernière note sur ce blog : il faut bien reconnaître que pour l'instant l'expérience n'est pas réellement concluante. Faute de temps ? J'aurais envie de répondre par l'affirmative, pourtant c'est un prétexte que j'essaie de m'astreindre à ne plus invoquer. Je n'aime pas considérer le temps comme un carcan sur lequel nous n'avons aucune maîtrise ni aucun pouvoir. On m'objectera, bien entendu, que le déroulement du temps est inéluctable, et qu'influer sur son cours n'est pour l'instant possible que dans la théorie scientifique. Certes. Mais de façon pragmatique (Dominique, si tu me lis...), je considère que le temps dont nous disposons, certes limité par le sommeil, le travail, toutes sortes de contraintes biologiques et/ou sociales, reste suffisant pour envisager bien des activités. De sorte qu'il est inexact, et même parfois un peu hypocrite de prétendre qu'on "n'a pas eu le temps" de faire telle ou telle chose. Il est plus exact et plus franc d'avancer que l'on n'a pas PRIS le temps nécessaire, et par là de prendre conscience que cette action relève d'un choix personnel de priorités. Alors voilà, près de deux mois depuis la dernière note sur ce blog : je n'ai pas pris le temps d'écrire ici. Reste à décider si je dois accorder à cet espace une part plus importante. Ca va bien me prendre deux mois de réflexion, ça.

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