31 juillet 2007

Ubuntu

Après quelques mois de tests de Vista, la dernière version de Windows, j'ai fini par m'ennuyer et j'ai décidé de réinstaller Linux sur mon poste. Décidément, ça m'avait manqué. Pour cette réinstallation, j'ai utilisé la dernière version en date de la distribution Ubuntu, qui se distingue par une simplicité d'installation et d'utilisation totalement hors normes.

Je n'ai pas envie (pas aujourd'hui) de me lancer dans un panégyrique de Linux en général, ni même d'Ubuntu en particulier, mais comme je ne désespère pas totalement de parvenir à convaincre quelques enthousiastes, je vais quand même en parler un peu.

Parmi les grands points forts de cette version d'Ubuntu :
  • Installation très simple
  • Mise en place automatique d'un dual-boot avec Vista (outil permettant à Windows et Linux de cohabiter sur le même poste, à l'aide d'un menu de choix du système à lancer lors du démarrage de l'ordinateur)
  • Reconnaissance des partitions NTFS (format Xp et Vista), qui permet une cohabitation encore plus simple
  • Utilisation d'espace disque et de ressources moins délirante que Vista (Ubuntu fonctionnera donc sans problème sur des machines un peu vieillotes)
  • Suite logicielle complète fournie sur un seul CD (y compris applications bureautique, gestion de bibliothèques d'images, logiciel de gravure de CD et DVD...)
  • C'est gratuit !

Parmi les points faibles :

  • La mise en place du Wi-Fi est toujours un calvaire, les nouveaux outils mis en place ne semblent pas fonctionner correctement sur mon poste.
  • Un détail qui a sa putain d'importance de sa race : la dernière version des firmware iPod est bien reconnue, ce qui permet de gérer les iPod les plus récents (y compris images des pochettes d'albums). Toutefois cela altère la bibliothèque présente sur l'iPod, ce qui se traduit ensuite par des heures de répérations sous iTunes...
  • Le multimédia (notamment les formats propriétaires type MP3, WMA, AAC) n'est pas accessible dès l'installation, ceci essentiellement pour des raisons légales. L'installation des codecs (programmes de compression / décompression) permettant d'activer ces formats requiert quelques manipulations supplémentaires, très simples mais tout serait tellement plus beau si ça marchait dès l'installation...
  • Linux ne propose pas de fonctions de contrôle parental simple, comme le fait assez efficacement Vista.

Dans l'ensemble, je constate tout de même qu'en à peine quelques mois, Linux en général et Ubuntu en particulier ont encore progressé de façon spectaculaire. Et ça c'est bon.

J'espère pouvoir prendre le temps à l'avenir de consacrer quelques lignes à des logiciels Open Source particulièrement excellents. Si l'on excepte ce petit problème de putains de couvertures sur les iPod de leur race, Amarok, par exemple, est le meilleur logiciel de gestion de bibliothèque musicale que j'aie pu croiser, iTunes est franchement médiocre, dans l'absolu d'une part, par comparaison d'autre part. Digikam est une alternative plus que correcte à un ACDSee, K3B dame le pion en bien des points à un Nero par exemple. Je ne parle même pas de Firefox ou Open Office, dont les qualités sont bien connues, et qui existent sous Linux comme sous Windows...

Bref, voilà, c'est bon, c'est gratuit, c'est amusant, et en plus le système du Live CD (CD exécutable à l'allumage de l'ordinateur) permet de prendre contact avec le système et son fonctionnement sans installation. Alors téléchargez ça ici, gravez l'image avec un logiciel type Nero ou ISO Recorder, placez le CD dans votre lecteur, redémarrez l'ordinateur et donnez à Linux et à Ubuntu une petite chance...

26 juillet 2007

Le dos de Dennis Bergkamp



J'adore le foot quand il atteint ce niveau d'élégance surréaliste...

Pour que les choses soient claires

J'imagine que cela devra être dit à un moment ou à un autre, autant que ce soit maintenant : j'interviens assez massivement sur le site www.indiepoprock.net . J'y publie très régulièrement des articles sous un pseudonyme effroyablement cryptique. Tout, sur ce site, est réalisé par des passionnés sans aucun intérêt financier. Le site ne génère pas d'argent, pas que je sache du moins. Et ma liberté d'opinion n'est en aucun cas altérée dans mes articles ; seule la charte éditoriale impose quelques conventions stylistiques.

En tout cas je ne publierai ici, sur la musique, que des opinions qui me paraissent, par leur extrême subjectivité (je hais ce mot, étant admis qu'une critique "objective" n'a aucun sens, entendons-le ici comme un synonyme de "mauvaise foi"), n'avoir pas leur place dans la ligne éditoriale d'Indiepoprock.net.

Voilà, c'est dit.

25 juillet 2007

Ouverture des hostilités

C'est parti... Je ne sais pas réellement où cela pourra mener, j'imagine qu'en celà je ne me distingue pas de l'écrasante majorité des bloggeurs. Bienvenue parmi moi en tout cas.